Voila le CR et les photos en live du surf trip de jérome (ex kiffer désormais installé à  la martinique)...ça a l'air chaud...
d'apres vous c'est ou ?
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Certains jours, les vagues sont si grosses et
puissantes qu'en déferlant, elles font vibrer le
récif
Les jours suivants la houle diminue... La peur au
ventre tu te mets à  l'eau...
Au bout d'un quart d'heure, un bon set te surprend et
tu commences à  prendre peur...
Le vieux routard australien devant toi, se met à  crier
de panique en ramant frénétiquement...
Toi aussi tu te mets à  ramer comme un dingue avec une
peur incontrôlable.
La suite de murs s’approche à  grande vitesse
Tu aurais envie d'appuyer sur la touche "pause" pour
arrêter le temps, puis faire annuler la
dernière action pour te retrouver sur la plage..
Mais on n'est pas dans un jeu vidéo...
Dans une ultime réflexion avant l'apocalypse, tu te
dis que tu es bien peu de chose avec ton morceau de
polystyrène au milieu de cet océan en furie, tu
regrettes même de pratiquer le surf...
Ton cerveau essaie de résonner le reste du corps:
"rame moins vite il faut qu'il te reste un poil
d'oxygène pour les 9 ou 10 canards à  faire....
Après 2 canards un peu juste, tu es a court d'oxygène,
la 3 ème vague qui est encore plus grosse que les 2
première te casse juste dessus.
Après un plongeon abyssal, tu t'accroches de toutes
tes forces à  ta planche (pour remonter plus vite)...
Finallement tu termines sur le récif salvateur ( pour
l'occasion tu as même oublié qu'il était coupant)
Le barbu australien est aussi sur le récit. Il ne crie
plus, il essaie de parler mais il se met à Â
r l'eau
entré par mégarde dans ses poumons.
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Nouvelle entrée de houle.jpg (57.21 KB)
