Togamipia a écrit:
Citation :

toma a écrit:
mon sentiment sur cette q° technique d'importance : globalement le manque de vitesse AVANT l'arrivée sur les mousses. A cause de trouillo a zero et tendance à  lofer.
Moralité : abattre toujours abattre pour arriver sur la grosse série avec un max de vitesse...de tte façon une partie de la vitese aura été perdue par les premières mousses + petites à  franchir avant d'arriver à  la "dernière". En plus la vitesse donne de la mobilité et dc des opportunités de fuir la section qui ferme.
Maintenant ceci est a proscrire si mousse supérieure à  3 metres (ce qui veut dire vagues d'une taille de mat...rare non ?)...ou alors mega risque de tampon pleine balle et casse du bonhomme...vu un mec qui s'est cassé le dessus du pied comme ça aux urgences d'essaouira l'an dernier.

Mon expérience : Siouville nov. 2005 : J'ai pas jibé ou viré (tendance Kiff couillu full of Redbull-shit... ) j'ai abattu, j'ai combattu, j'ai été vaincu... face à  une mousse d'un bon 2,5 m/3m. J'ai entendu un "ssssssouiiiiiiichhh", senti mon flotteur tenter de se maintenir sur de l'île flottante, et je me suis vautré, voile à  plat sur la mousse, mais vite retournée... J'ai cherché ma respiration dans ce mélange dl'eau et d'air, en avalant un bon faux-col et je suis revenu au bord lessivé, pas vraiment envie d'y retourner.
End of the story.
Une petite tof ce fameux jour: Kant en pleine réflexion métaphysique sur l'importance de l'être humain face aux éléments: (et je précise que les perspectives sont trompeuses : les vagues de cette session étant espacées, la première mousse sur la photo est assez lointaine et encore plus "conséquente"...)