| Re: un genou dans le sac? |
Objet : Re: un genou dans le sac? par pepewind sur 05-08-2010 16:14:06 Citation :
 le pire c'est fléchettes + chopes de bières !!!Arno : attention à ne pas généraliser avec les médecins, comme avec les profs, les flics, etc d'ailleurs, enfin toutes ces personnes à qui on a à faire un jour. Il y a des bons et des moins bons comme partout. Concernant, la médecine, c'est certes plus angoissant de se dire qu'on ne peut pas avoir une confiance aveugle en toute personne. Antoine, soigne-toi bien !!! Allez pour rigoler (z'êtes pas obligés d'aller jusqu'au bout) : J'ai personnellement une petite expérience des hopitaux, médecins, etc (+ d'une quinzaine d'opérations avec anesthésie générale...). - ça me fait toujours rager de ne pas être écouté par un médecin alors que ça me semble primordial, on n'est pas des machines. - ça me fout en boule de tomber sur un dentiste, un stomato qui se pointe ne te dit pas bonjour, te demande d'ouvrir la bouche et te dit "c'est (qd même) bien fait" en parlant de ton opération de fente palatine (bec de lièvre), #OOPS# on n'est pas des chiens, - ça m'énerve d'entendre un infirmier s'énerver et dire qu'en 30 ans de métier, il n'a jamais vu de veines aussi plates, c'est clair qu'à 6h30 du mat' et qd ça fait 2 semaines que t'es au lit sous péridurale, t'as pas la patate ! - j'ai bien morflé à me retrouver avec de la glace sur le haut du crâne pendant plusieurs heures alors que je venais de me faire opérer de la mâchoire, - avoir super mal à déglutir et personne pour me dire que j'étais intubé (j'étais trop ds le coltar pour m'en rendre compte). - j'en ai chié à me choper une otite à la suite d'une ablation de la thyroide et qu'on ne me donne rien pour ça (pas le droit, ou pas conseillé, je n'ai toujours pas compris). - j'ai eu les boules qd un interne m'a présenté l'objet qui allait me percer le thorax sous anesthésie locale et qu'il a enchaîné la manip' sans que j'ai le temps de poser mes lunettes lors de mon 1er pneumothorax. - ça m'a fait tout drôle lorsqu'à 18 ans, je me retrouvé en salle d'op, à poil, à dire bonjour à une vingtaine de personnes venant assister à une opération dont mon chirurgien était un "précurseur" - choisir entre avoir super mal au genou ou bien se faire éclater les tibias à 6h30 du mat' par l'infirmière qui rentre ds la chambre sans voir les pieds qui dépassent... parce qu'étant immobilisé plusieurs jours dans un lit trop court    bon finalement qd on est à l'eau et qu'on se régale, on apprécie encore plus son bonheur   a+ pp |